Les expositions du premier semestre 2024 : un aperçu

 

Dennis Tyfus
25.01 - 16.03
Tim Van Laere Gallery, Anvers

La Tim Van Laere Gallery présente la deuxième exposition personnelle de Dennis Tyfus, intitulée Tattooed Tears Of Joy. Dans cette exposition, Tyfus présente une nouvelle série de dessins, une installation d'horloges intitulée Please Join Trio De Janeiro et une sculpture hyperréaliste qui s'inscrit dans la continuité de la série Strafstudie.

La pratique artistique de Dennis Tyfus englobe un riche éventail de médias et d'expressions visuelles, notamment des dessins, des sculptures, des installations, des vidéos, des magazines, des livres, des publications en vinyle, ainsi que sa propre émission de radio, sa musique, ses concerts et ses performances. Les œuvres de Tyfus trouvent souvent leur origine dans le processus de pensée inconscient de l'artiste, le choix du médium et de l'endroit spécifique où les œuvres seront placées jouant un rôle important. Dans sa pratique, l'artiste intègre des éléments de la culture populaire et de l'avant-garde, créant un univers dans lequel le personnel, l'anecdotique, le banal et l'inexplicable s'unissent dans un ensemble particulier sans se limiter à des définitions strictes et à des débuts ou des fins bien définis.


Jacques Sonck
25.01 - 31.03
Fondation A, Bruxelles
Conférence de presse : 24 janvier, 11h

À partir du 25 janvier 2024, la Fondation A expose les oeuvres du photographe belge Jacques Sonck. L’exposition, curatée par Roger Szmulewicz, comprend quelque 120 portraits en noir et blanc d’individus pas comme les autres, photographiés par Sonck dans la rue ou dans son studio depuis les années 1970. 

Sonck est connu pour ses portraits pénétrants de personnages excentriques issus de toutes les couches de la société. Dans son oeuvre, il se concentre sur les aspects uniques de chaque visage, entonnant ainsi une ode à la diversité humaine. 

Après Vincen Beeckman en 2017, c’est la deuxième fois que la Fondation A organise une grande exposition d’un photographe belge. Pour Astrid Ullens de Schooten Whettnall, la présidente de la Fondation A, qui possède dans sa collection une quarantaine de photographies de Jacques Sonck, cette exposition est très particulière.

Les 120 portraits en noir et blanc donnent un aperçu du procédé sériel de Sonck. Celui-ci, qui pratique la photographie analogique, approche toujours ses modèles avec douceur. Contrairement à des photographes comme August Sander, Irving Penn, Diane Arbus et Richard Avedon, Sonck ne vise pas à mettre en évidence la position sociale de ses modèles. ​ Il les photographie dans un cadre sobre, sans aucune indication de contexte. Dans l’espace public, il choisit comme arrière-plan des murs blancs ou des scènes de la nature. Dans l’espace privé de son studio, où il invite ses modèles depuis les années 1990, il recourt à un écran sombre éclairé artificiellement. Ce sont les caractéristiques extérieures des différents individus qui le fascinent et exigent, de ce fait, toute l’attention de l’objectif. 


Leon Kossoff
01.02 - 30.03
Xavier Hufkens, Rivoli, Bruxelles

Xavier Hufkens présente la première exposition de l'artiste britannique Leon Kossoff (1926-2019) avec la galerie. Kossoff est l'un des peintres figuratifs les plus acclamés du 20e siècle. Il était membre de l'"École de Londres", qui comprenait des artistes tels que Frank Auerbach, Francis Bacon et Lucian Freud. Bien que leurs approches diffèrent, le groupe a adopté un engagement radical en faveur de la peinture figurative à une époque où le conceptualisme et le minimalisme étaient les forces dominantes dans le monde de l'art.

Avec des peintures et des dessins réalisés sur une période de cinq décennies, soit la quasi-totalité de sa vie professionnelle, la présentation prend la forme d'une rétrospective condensée. Deux séries mettent en lumière des thèmes clés de l'œuvre de Kossoff, à savoir les paysages urbains londoniens et ses "traductions" d'œuvres de maîtres anciens et modernes. Complétée par des portraits et un premier nu de 1963, l'exposition offre une vue d'ensemble de la pratique de Kossoff et de son évolution stylistique.


Popcorn
02.02 - 26.05 ​
MIMA, Bruxelles
Conférence de presse: 1 février, 11h

Le MIMA présente Popcorn, une exposition collective de 15 artistes qui peignent avec une dose de surréalisme comparable à celui des années 30, une image colorée, décalée et onirique de notre société. L’expérience, auréolée d’humour, est un choc picturale garanti autant qu'un antidote à la mélancolie hivernale. Popcorn, c’est aussi une fenêtre atypique, très locale, sur l’art contemporain rassemblant des acteurs jeunes et expérimentés.

L’exposition suggère un parallèle entre l’art d’aujourd’hui et celui des années 30, âge d’or du cinéma où le pop-corn explosa au son du Swing. Par-delà les époques qui séparent les artistes, il est possible de comparer la création face à la montée de l’intolérance et l’accumulation de nuages sur l’horizon. A ce titre, Popcorn tire un trait d’union imaginaire entre les courants artistiques Surréaliste (Salvador Dali, Giorgio de Chirico, René Magritte…) et Nouvelle Objectivité (Max Beckmann, Otto Dix, George Grosz…), et les artistes exposés.

Enfin, l’éventail de 15 artistes, locaux pour la plupart, renouvelle l’occasion d’élargir notre regard sur la jeune création contemporaine.

Artistes
Mrzyk et Moriceau, Pol-Edouard, Fabien Karp, Gary Card, Adèle Aprohdite, Elene Usdin, Michael Polakowski, Julien Colombier, Amandine Urruty, Dephine Somers, Antoine Carbonne, Davor Gromilovic, Nina Vandeweghe, Silio Durt


Jonathan Meese
10.02 - 27.04
Tim Van Laere Gallery, Rome

La Tim Van Laere Gallery présente la sixième exposition personnelle de Jonathan Meese, et la première exposition de l'artiste dans le nouvel espace de Rome. Jonathan Meese (°1970 Tokyo, vit et travaille à Berlin et Hambourg) est connu pour son travail polyvalent, qui va des peintures exubérantes, des installations, des performances extatiques à une œuvre puissante de sculptures sur différents supports. Apparemment sans effort, il a développé un vocabulaire indépendant et unique dans tous les genres qui donne à son travail la variété, l'énergie visuelle et la qualité qui, selon Robert Fleck, est sans précédent depuis Picasso. Meese crée une mythologie personnelle élaborée avec des personnages inspirés de l'histoire, des légendes et de la science-fiction. Dans ses œuvres, vous trouverez un système difficilement décodable de signes/badges, de néologismes, de symboles et d'allusions figuratives à toutes sortes de chercheurs de pouvoir, de personnages mythiques et de génies de l'histoire, de pop stars ou de héros fictifs de romans et de films.


Leon Spilliaert: L'Arpenteur du Silence
15.02 - 13.04
Galerie Patrick Derom, Bruxelles

La galerie Patrick Derom organise une exposition avec 21 œuvres de Léon Spilliaert. Spilliaert né à Ostende le 28 juillet 1881 et mort à Bruxelles le 23 novembre 1946 est un dessinateur, peintre, illustrateur et lithographe belge. A ses débuts proche du symbolisme ​ et montrant des affinités avec Fernand Khnopff et Edvard Munch, il est influencé par ses lectures de Maeterlinck, Verhaeren et Nietzsche. Dans ses œuvres il explore la solitude de l’être humain et l’immensité de la mer. Il évoque la vie des lieux de sa ville natale d’Ostende. Ses créations reflètent un esprit de réflexion et de méditation spirituelle. Une belle amitié le lie à James Ensor.

La Galerie Patrick Derom est spécialisée dans le modernisme belge et européen, couvrant une vaste période allant de 1880 à nos jours, du symbolisme au pop art, avec des incursions occasionnelles dans l'art contemporain. A l’occasion d’une exposition vente de 21 œuvres de Spilliaert, un catalogue est édité comprenant des essais de plusieurs historiens de l’art, connaisseurs de son art. Récemment des expositions Spilliaert se sont tenues ​ à Londres et Paris en 2020, à Lausanne en 2023 et actuellement à Neuss en Allemagne. ​ 


Zhang Enli
14.03 - 11.05
Xavier Hufkens, St-Georges, Bruxelles

Les œuvres lyriques sur toile de Zhang Enli s'inspirent souvent d'objets apparemment ordinaires, allant de boîtes en carton à des bouts de ficelle, ou d'aspects de la vie quotidienne, tels que des structures urbaines ou des éléments de paysage. Dans ces œuvres, Zhang s'efforce de capturer les qualités intangibles et essentielles de l'objet, telles que les implications de la transparence, de la douceur ou de la flexibilité. Il est également connu pour ses installations spécifiques qui jouent avec les échos historiques de leur environnement ou avec l'intérieur de pavillons en bois construits à cet effet. Ces installations immersives, dont les célèbres peintures spatiales et les structures en carton, sont basées sur des expériences psychologiques et émotionnelles, telles que des souvenirs d'enfance ou les images et les sons d'environnements spécifiques. Le style particulier de Zhang - fluide, spontané et gestuel - s'inspire à la fois des traditions picturales orientales et occidentales. Les lignes fluides, par exemple, rappellent la peinture traditionnelle chinoise au pinceau, tandis que les lignes visibles de la grille font référence à la technique du "quadrillage" de la Renaissance. Maître de la couleur et de la lumière, il préfère travailler avec de minces éclaboussures de peinture et des couleurs vives et cristallines avec des contrastes sombres. La touche légère de Zhang confère à son œuvre une qualité éthérée, harmonieuse et profondément évocatrice.


Passage. Textiles & Rituels
15.03 - 01.09
Musée Juif de Belgique
Conférence de presse : 14 mars, 11h

Avant sa fermeture pour travaux fin 2024, ​ le Musée Juif de Belgique propose du 15 mars au 1er septembre 2024 une dernière exposition-événement intitulée « Passage. Textiles & Rituels ». Achevant un programme d’expositions temporaires entamé il y a plus de vingt ans, cette exposition revient sur la notion de « passage », qu’elle soit liée aux rites de la tradition juive ou qu’elle évoque la transformation vers une autre entité, un autre espace ou un autre temps.

Se déclinant en trois volets, « Passage » nous plonge dans les collections textiles du musée, mis en dialogue avec une installation immersive d’une référence incontournable de l’art contemporain : Charlemagne Palestine, tout en ouvrant un espace expérimental qui accueillera des performances. 

L’exposition propose trois parcours complémentaires. Le premier nous fait découvrir l'univers détonnant de l'artiste conceptuel Charlemagne Palestine. Dans une installation intitulée Bear Mitzvah, l’artiste, né à New York en 1947, met en scène le passage à l'âge adulte dans la tradition juive, qu’il réinvente ici sous la forme d’une célébration universelle et ouverte à tou.te.s. 

En écho aux assemblages de tissus de Charlemagne Palestine, le deuxième parcours nous emmène à la découverte des collections textile du Musée Juif de Belgique. Très rarement exhumés de nos réserves, ces textiles sont mis en dialogue avec des œuvres d’artistes contemporains qui travaillent, eux aussi, ce medium.

Le troisième parcours est pensé comme un laboratoire : il explore, en co-création avec des artistes de la scène contemporaine, la résurgence des croyances et des rites. À travers un programme de quatre performances qui activeront « Passage » sur toute sa durée, le project space sort de sa condition muséale pour se transformer en espace intime et domestique, propice à la rencontre et à l’échange. 


Edith Dekyndt: Specific Subjects
21.03 - 27.10
Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence

Le projet d’Édith Dekindt pour la Fondation CAB à Saint-Paul de vence, Specific Subjects, tisse des liens entre les technologies nouvelles et évolutives, les savoirs ancestraux et les enjeux contemporains.

Certaines œuvres défient la décomposition de la matière, permettant d’esquisser une atmosphère entre brutalité et fragilité, problématisant la présence de ces deux notions antagonistes dans un même lieu. L’exposition à Saint-Paul de Vence est à la fois un parcours dans l’univers artistique d’Édith Dekyndt, où le dialogue entre la nature et la culture s’entremêle avec le territoire, ainsi qu’une expérience qui transcende les espaces habituels de l’art. Elle nous invite, en tant que spectateurs à explorer de multiples niveaux de signification et à remettre en question notre compréhension de l’espace, de la mémoire et de la temporalité.

Dans le contexte actuel, marqué par des conflits et des transformations radicales de nos modes de vie et d’action, avec des répercussions économiques, matérielles, immatérielles et émotionnelles, l’artiste propose une série d’œuvres dans lesquelles la dynamique entre la nature et la culture, le rural et l’urbain, génère de nouveaux paradigmes auxquels il faut se confronter.


Muller Van Severen
21.03 - 27.10
Fondation CAB, Saint-Paul-de-Vence

Pour cette exposition, le duo de designers belges Fien Muller (1978, Lokeren Belgique) et Hannes Van Severen (1979, Gand, Belgique) s’est concentré sur la présentation d’une sélection d’œuvres permettant de voir la collection en zoomant (littéralement grâce au duo de photographes Scheltens et Abbenes) mais aussi en dézoomant et en montrant des objets tels que des prototypes, des dessins, des matériaux, etc…


Réouverture de Netwerk à Alost
21.03

Après une rénovation approfondie de plus d'un an, le Netwerk (NW) rénové d'Alost ouvrira ses portes le 21 mars 2024. Dirigé par la nouvelle équipe de direction composée de trois membres, Godart Bakkers, Laura Herman et Jeniffer Vansteyvoort, le NW deviendra plus que jamais une maison ouverte pour l'art contemporain et le cinéma.

NW offre un espace pour le développement de la pratique des artistes sous toutes ses facettes, du processus à l'expérimentation artistique en passant par la recherche, et le partage avec un public par le biais de projets et d'un programme public. Le rez-de-chaussée est dédié à la rencontre et au voisinage, tandis que le premier étage, les espaces d'exposition et le cinéma sont utilisés pour le programme artistique, sans poursuivre une division trop rigide de ces fonctions.

La nouvelle vision de NW apparaîtra clairement lors du week-end d'ouverture, du 21 au 24 mars. Sous le nom de Club Ritual, NW présentera un programme d'expositions, de films, de rencontres et un programme de partenariat avec des artistes et le voisinage. NW explore ainsi les multiples facettes et la complexité des rituels, ainsi que leur enracinement dans les différentes couches de notre société. L'ambivalence du rituel en fait un sujet fragile, dynamique et d'actualité.


Marcel Dzama
21.03 - 11.05
Tim Van Laere Gallery, Anvers

La Tim Van Laere Gallery présente la deuxième exposition personnelle de Marcel Dzama (° 1974 Winnipeg, Canada. Vit et travaille à New York) avec la galerie. Dzama a développé un langage visuel immédiatement reconnaissable qui explore l'action et la motivation humaines, ainsi que la relation floue entre le réel et le subconscient. S'inspirant du folklore, de l'histoire de l'art et d'influences contemporaines, le travail de Dzama visualise un univers de fantasmes d'enfance et de contes de fées merveilleux. Le répertoire visuel de Dzama comprend un large éventail de citations de l'histoire de l'art. Les costumes de ballet d'Oskar Schlemmer ou de Francis Picabia sont reconnaissables, tout comme les références directes à Francisco de Goya, Marcel Duchamp et Joseph Beuys. Mais ce ne sont pas seulement les éléments du passé qui stimulent la créativité de Dzama. Dès le début de sa carrière, ce mélomane a collaboré avec divers collègues, que ce soit dans le cadre du Royal Art Lodge de Winnipeg, qu'il a cofondé, ou sous la forme de collaborations avec Arcade Fire, Bob Dylan, Beck, Kim Gordon (Sonic Youth), le cinéaste Spike Jonze, l'actrice Amy Sedaris, l'ensemble du New York City Ballet ou des collègues artistes tels que Raymond Pettibon et Jockum Nordström. Son œuvre Beuys loves a girl who plays guitar (Beuys aime une fille qui joue de la guitare) réunit l'artiste Joseph Beuys et la chanteuse de country Dolly Parton, entre autres.


Nick Cave
05.04 - 11.05
Xavier Hufkens, St-Georges, Bruxelles

Nick Cave est surtout connu comme leader du groupe de rock "Nick Cave and the Bad Seeds", mais il est également écrivain, acteur et artiste. De 2020 à 2022, par exemple, il a travaillé sur une collection de sculptures en céramique intitulée "The Devil - A Life (2020-22)". Cette série de dix-sept figurines en céramique émaillée racontant l'histoire du Diable du berceau à la tombe sera exposée chez Xavier Hufkens en avril. Cette œuvre narrative, présentée pour la première fois en Belgique, est une expression visuelle de l'intérêt constant de l'artiste pour la religion en tant que catalyseur d'une approche plus profonde et plus créative de la vie.


Art Brussels
25 - 28.04 ​
Brussels Expo, Bruxelles

Art Brussels fêtera sa 40e édition en 2024. La formule du succès de la foire reste inchangée : un alignement solide et international de galeries apportant un mélange unique d'artistes établis et de talents émergents. Les galeries seront présentées dans les quatre sections de la foire : PRIME, DISCOVERY, REDISCOVERY et la sous-section SOLO de la foire. Mais cette 40e édition promet également quelques nouveautés.


La Triennale de Courtrai 2024 : After Paradise
29.06 - 06.10
Différents lieux à Courtrai

La Triennale de Courtrai 2024, qui se déroule du 29 juin au 6 octobre 2024 sur 14 sites patrimoniaux dans le centre de Courtrai, est organisée par Patrick Ronse (Be-Part, Plateforme d'art contemporain, Courtrai - Waregem) et Hilde Teerlinck (Fondation Han Nefkens, Barcelone & curatrice du Pavillon belge à la Biennale de Venise 2022). Pour cette troisième édition, ils ont invité une vingtaine d'artistes nationaux et internationaux à installer des œuvres d’art contemporain dans différents lieux intérieurs et extérieurs du centre-ville. 

Tant des artistes internationaux importants comme Malgorzata Mirga-Tas, Laia Estruch, Motoi Yamamoto et Nathan Coley que des artistes belges comme Kasper Bosmans et Nico Dockx présentent des œuvres qui s'inscrivent dans le thème « After Paradise ».

En donnant une tribune aux artistes qui s'intéressent particulièrement à l'aspect social et sociétal de l'art, la Triennale de Courtrai 2024 invite les visiteurs à (re)découvrir la beauté de la ville. La riche histoire de Courtrai constitue le fil rouge d’un parcours qui intègre des sites historiques uniques. Des perles du patrimoine, connues et moins connues, ouvrent exceptionnellement leurs portes à l'art contemporain. L'itinéraire serpente aussi le long des nouveaux parcs de la ville et de rues qui ont subi, au cours des dernières années, une transformation majeure. En visitant la Triennale, vous découvrirez Courtrai comme une ville en mouvement. 


Any Way the Wind Blows
29.06 - 15.09
C-mine, Genk

C-mine présente le festival artistique à grande échelle "Any Way The Wind Blows", où l'art, l'air et le vent se rencontrent. Le festival présente un large éventail d'installations, d'œuvres d'art et d'activités, allant de châteaux gonflables conçus par des artistes internationaux de renom à une machine qui imite les courants éoliens ; de sculptures gonflables géantes à un pogo sans fin sur le toit. Vous pouvez lancer des cerfs-volants ou en fabriquer, et pour vous inspirer, 30 artistes sont déjà en train de concevoir eux-mêmes un tout nouveau cerf-volant.

Le festival présente le travail de personnalités nationales et internationales : Cyril Lancelin (FR), Kamiel de Waal (BE), 019 (BE), Haseeb Ahmed (US), Loulou João (BE/RDC), Dennis Tyfus (BE), Sharon Van Overmeiren (BE), Shirley Villavicencio Pizango (BE/PE), Winnie Claessens (BE), Plastique Fantastique (IT/KR), The RedBall project (USA), Kasper De Vos (BE), Karina Beumer (NL), Ada Güvenir (BE/TR) et Lotte Vrancken (BE).

 

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