Hangar inaugure la rentrée 2025 avec des expositions de Charlotte Abramow, Nick Brandt et Maryam Firuzi

Save the date: conférence de presse en présence des artistes le mercredi 17 septembre à 14h00

Après AImagine, Hangar inaugure la rentrée 2025 à travers trois sujets en résonance avec les grandes préoccupations contemporaines : MAURICE, Tristesse et Rigolade de Charlotte Abramow évoque la fin de vie et la résilience qui peut l’accompagner, The Day May Break de Nick Brandt nous confronte aux migrations humaines et animales engendrées par les bouleversements climatiques et l’artiste iranienne Maryam Firuzi nous emmène aux confins de son pays et de ses communautés de femmes.


Charlotte Abramow
MAURICE, Tristesse et Rigolade
Vernissage le jeudi 18 septembre 2025 de 17h30 à 20h30.
Exposition du 19 septembre au 21 décembre 2025
Conférence de presse en présence de l'artiste le 17 septembre à 14h

MAURICE, Tristesse et Rigolade, 2018 © Charlotte Abramow

MAURICE, Tristesse et Rigolade est le témoignage poignant et l’adieu d’une fille à son père. 7 ans après la parution du livre, MAURICE, Tristesse et Rigolade est enfin exposé pour la première fois au Hangar.

Charlotte Abramow avec toute sa délicatesse nous plonge dans l’univers de la maladie avec son écriture singulière, empruntant à la fois le sérieux du documentaire et la dérision du surréalisme qui caractérise une œuvre déjà abondante.

À propos de Charlotte Abramow

Charlotte Abramow est née en 1993 à Bruxelles, en Belgique. Elle vit et travaille aujourd’hui à Paris, en France. Très tôt, elle manifeste un intérêt pour l’image. À 16 ans, lors d’un stage aux Rencontres de la Photographie à Arles, elle rencontre le photographe de mode italien Paolo Roversi. Ce dernier écrit plusieurs articles sur le travail de Charlotte Abramow et le présente pour la première fois au public.

Dans sa vingtaine, Charlotte Abramow décide de s’installer à Paris pour étudier à Gobelins, l’École de l’Image, dont elle sort diplômée deux ans plus tard. Photographe et réalisatrice, elle reçoit de nombreuses distinctions, dont le Prix Picto de la jeune photographie de mode en 2014.

Elle obtient également deux reconnaissances aux Rencontres de la Photographie d’Arles : finaliste des Photo Review Awards en 2015, et mention spéciale en 2017 pour son projet Maurice. En 2019, elle remporte le Silver Prize au Young Director Award pour le clip Balance ton Quoi de la chanteuse Angèle.

Le travail photographique de Charlotte Abramow se distingue à plusieurs égards. Artiste engagée, elle s’intéresse particulièrement aux corps : leur représentation, l’hypersexualisation qui les entoure, les tabous qu’ils suscitent, leurs imperfections… Plus largement, elle met en lumière la manière dont la société détermine et perpétue les normes dominantes.


Nick Brandt
The Day May Break 
Vernissage le jeudi 18 septembre, 2025 de 17h30 à 20h30.
Exposition du 19 septembre au 21 décembre, 2025
Conférence de presse en présence de l'artiste le 17 septembre à 14h

Kuda and Sky II, Zimbabwe 2020 © Nick Brandt. ​
L’utilisation des images est strictement réservée à la promotion de l’exposition et ne doit en aucun cas faire l’objet de recadrage, de retouche ou de modification des proportions. Toute utilisation des images doit impérativement être accompagnée de leur légende complète. 

The Day May Break, la dernière série de Nick Brandt montrée pour la première fois en Belgique et pour la première fois dans son ensemble, se compose de 4 chapitres dont une sélection d’images sera dévoilée pour chacun. De l’Afrique à l’Amérique du Sud, cette série met en scène des espèces animales et communautés humaines impactées par les changements climatiques. Nick Brandt nous invite à réagir face à un phénomène qu’il qualifie “d’écocide”.

The Day May Break est le premier volet d’une série mondiale consacrée aux personnes et aux animaux touchés par la dégradation et la destruction de l’environnement. Réalisée dans plusieurs régions du monde, la série met en lumière des pays parmi les moins pollueurs, mais aussi les plus vulnérables face aux dérèglements climatiques. Les deux premiers chapitres ont été photographiés au Kenya, au Zimbabwe (2020) et en Bolivie (2022), tandis que SINK and RISE, centré exclusivement sur les humains, a été réalisé aux Fidji. Photographiées sous l’eau, les personnes figurant sur ces images incarnent les nombreux individus dont les maisons, les terres et les moyens de subsistance seront engloutis par la montée des eaux dans les décennies à venir.

À propos de Nick Brandt

Nick Brandt (1964) est né et a grandi à Londres, où il a étudié la peinture et le cinéma à la Saint Martin’s School of Art. En 1995, alors qu’il réalise le clip épique Earth Song de Michael Jackson en Tanzanie, il tombe amoureux des animaux et des paysages d’Afrique de l’Est.

Quelques années plus tard, il entame sa première série photographique, On This Earth (2000–2005), qui formera une trilogie avec les séries suivantes, A Shadow Falls (2009) et Across the Ravaged Land (2013). On This Earth paraît en livre en 2005, avec des textes d’introduction de la primatologue et militante écologiste Jane Goodall, de l’autrice Alice Sebold et de la critique de photographie Vicki Goldberg. Ses séries ultérieures, Inherit the Dust (2016) et This Empty World(2019), sont elles aussi réalisées en Afrique de l’Est.

En 2010, Brandt cofonde Big Life Foundation, une ONG active au Kenya et en Tanzanie, qui emploie plus de 350 rangers locaux pour protéger 1,6 million d’acres de l’écosystème d’Amboseli/Kilimandjaro. À travers ses photographies, il documente les effets de la destruction environnementale et du dérèglement climatique, tant sur les populations les plus vulnérables que sur le monde animal et naturel.

Depuis 2020, il développe The Day May Break, une série mondiale en cours qui met en lumière les êtres humains et les animaux affectés par les bouleversements climatiques et environnementaux.


HANGAR GALLERY
Maryam Firuzi
When the Earth Still Had a Feminine Name
Vernissage le jeudi 18 septembre 2025 de 17h30 à 20h30.
Exposition du 19 septembre au 2 novembre 2025
Conférence de presse en présence de l'artiste le 17 septembre à 14h

From The Series Women In Mirror, 2025 © Maryam Firuzi

L’artiste iranienne Maryam Firuzi explore les thèmes de la mémoire et de l’identité, mettant en lumière les femmes iraniennes. À travers des images soigneusement composées, elle interroge les notions de présence et d’absence. Son œuvre est une ode à la transmission entre les générations. Cette exposition présente pour la première fois son travail en Belgique.

À propos de Maryam Firuzi

Maryam Firuzi est née en 1986 à Shiraz. Elle est diplômée de l’Université des Arts de Téhéran, où elle a étudié le scénario (licence) puis le cinéma (master).

Elle vit à Téhéran et travaille dans les domaines de la photographie et du cinéma. Elle a écrit et réalisé plusieurs courts-métrages projetés en Iran et à l’international, notamment au Solaris Film Festival de Nice, au Festival international Signos da Noite de Lisbonne et au Short on Tap Festival de Londres. Elle a reçu le prix du meilleur court-métrage au Mediterranean Film Festival de Cannes.

Son travail photographique a été présenté dans de nombreuses expositions individuelles et collectives ainsi que dans des festivals, parmi lesquels le Festival du Film Franco-Arabe en France, Paris Photo 2021 et 2022, ainsi que des expositions à Beyrouth, Amman, Paris, Singapour et Marseille. En Autriche, elle a reçu une médaille de l’Alfred Fried Peace Photography Award en 2018 et a été lauréate de la 6e édition du prix IWPA (2022). Ses photographies ont également été présentées dans l’exposition Visions of the East, lors de la 19e édition du Festival photo La Gacilly, en France.


À propos de Hangar

Hangar propose une découverte de la photographie contemporaine à travers des expositions soigneusement conçues, une librairie spécialisée, une programmation d’événements et une galerie commerciale.

Sa mission est de promouvoir et de soutenir le travail des photographes belges émergents ou établis, ainsi que celui d’artistes européens et internationaux. Hangar est un centre d’art vivant et expérimental, ouvert à la fois aux artistes et au public.

Installé dans un bâtiment semi-industriel situé au cœur de la charmante place arborée, la place du Châtelain, Hangar est un centre d’art non discriminant, en prise avec les dynamiques du monde culturel. La diversité des thématiques abordées invite les visiteurs à se confronter à une large variété d’enjeux contemporains.

Centre dédié à la photographie depuis 2016, Hangar s’est donné pour mission d’embrasser toutes les formes et sensibilités de la photographie contemporaine, sans restriction de genres, de territoires ou d’approche du médium. Ce qui prime, c’est le regard de l’artiste, ce qu’il ou elle dit de son époque à travers l’objectif, et la manière dont il ou elle explore le langage photographique.

Au fil des années, Hangar s’est imposé comme une plateforme pour des photographes de renommée internationale comme pour de jeunes talents, avec pour ambition de refléter toute la richesse et la vitalité de la création photographique contemporaine.

Soutenir la création contemporaine implique aussi d’accompagner les artistes dans la commercialisation de leurs œuvres. Les collectionneurs, eux aussi, ont besoin de repères pour acquérir des tirages photographiques dans le respect des codes précis de l’art contemporain. C’est en réponse à cette double demande, celle des artistes et des collectionneurs, que Hangar a développé son activité de galerie avec Hangar Gallery. 

C’est là toute la singularité de Hangar : un lieu à Bruxelles d’expositions muséales, doublé d’une activité de galerie dynamique au service d’une création artistique durable.

Hangar
18 Place du Châtelain,
1050 Bruxelles

HANGAR


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